La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis DEvans (Épisode N°1528)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) Suite de l'épisode précédent N°1527) -
Chapitre 7 : La consultation -
Le gendre idéal nétait plus, seul le soumis dépravé et souillé existait !
Le Maître et kévinsoumis étaient repartis, me laissant là, baignant dans ces urines maintenant refroidies et puantes. Je restais allongé encore de longues minutes, comme ça, totalement éreinté, anus béant, sans bouger, javais juste étiré mes jambes. Je me sentais bien, un bien-être authentique et indiscutable presquune forme de béatitude de me sentir tout simplement à ma place... Je laissais mon esprit senvoler, ne pensais plus, ne méditais plus, ne réfléchissais plus. Je me contentais de rêvasser à tout et rien à la fois, sans chercher à analyser ce quétaient mes pensées. Un total lâcher-prise, une attitude intérieure douverture à la vie et aux autres. Cétait bien la première fois que je parvenais à un tel abandon ! Je ne me jugeais pas, ne me dépréciais pas, jétais
moi ! Un incontestable
moi, un être vivant, certes assujetti et asservi, mais néprouvant ni honte, ni scrupule, ni remords, ni quoi que ce soit.
Il y a peu, je me serais inquiété de savoir comment allais-je faire pour rentrer à la Bastide. Là, je décidais de rester nu, de marcher à poil, avec seules mes chaussures aux pieds, au milieu des rangs de vignes, parce quil était impossible de remettre un quelconque vêtement sur mon corps couvert de pisse, de poussière, avec un cul souillé de sperme, laissant échapper un trop plein de foutre. Je me sentais léger comme lair en cette fin daprès-midi. Je pus rentrer tout de même tout nu et sans que personne me voit, par la vieille porte de secours du cellier située derrière la maison
Au cours de la soirée, évidemment je repensais à ce jeune kévinsoumis. Quelle maîtrise de son corps, de son mental, quelle endurance, un mois sans éjaculer ! Moi qui avais besoin de me masturber quotidiennement
Saurais-je légaler un jour ? Combien de temps me faudrait-il pour être si bien éduqué, formé, formaté, dressé ? Arriverais-je un jour à neutraliser mes craintes, mes peurs, à rejeter ces valeurs morales qui mempêchaient dêtre moi tout simplement, de vivre sans préjugé, sans opinion préconçues ? Parviendrai-je à aller au-delà de mes propres limites, apprendre lindécence et lobscénité, avec une banalisation de ma sexualité ? Accepterais-je aisément de me retrouver à poil, de montrer mon sexe sans la moindre honte, de tendre mon cul avec indécence, me faire baiser en toute impudeur, de me faire palper avec fierté, sans ressentir une quelconque gêne et de trouver ça normal, anodin, logique et coutumier ? Jétais encore dans cette introspection positive, lorsque mon téléphone bipait mannonçant un sms.
- Tu dois te libérer demain pour dix-heures. Tu viendras au Château correctement vêtu, mais sans sous-vêtement. A demain, salope.
- A vos Exigences, Maître, répondais-je respectueusement.
Jétais encore dans une sorte de plénitude bienfaitrice, je métonnais de ne pas imaginer toutes sortes de scénarii, pour cette nouvelle convocation. Là, non
rien, rien de tout ça ! « On verra bien ! » métais-je exclamé en allant me coucher, parce que crevé... Ma nuit avait été réparatrice, malgré un rêve érotique, sinon pornographique, où je métais retrouvé au beau milieu dune partouze gigantesque avec des dizaines dautres soumis sans visage et des Maîtres cagoulés dans une espèce dorgie, jy étais attaché et on me prenait à la chaîne et sans répit par tous mes orifices
Réveillé suite à ce rêve, un détour par la salle de bain avait été nécessaire pour faire tomber la pression dans cette cage. Heureusement, je métais rendormi aussitôt... Il était 6 heures 30, lorsque jouvrais un il. Mon premier réflexe était de regarder mon sexe douloureux
oups, non
ma nouille devais-je dire désormais ! Celle-ci était cramoisie, totalement congestionnée, rouge grenat. Il y a peu encore, je me serais soulagé et aurais joui. Là
tout simplement impossible. Indéniablement, le plaisir physique me manquait mais, devais-je me lavouer, sur le plan mental, je me délectais de cette contrainte, me demandais même si cette jouissance intellectuelle nétait supérieure à tout autre plaisir. « Allez hop, une bonne douche ! »
A 7 heures jétais près, je partais à la boulangerie du village. Etonnement, ce matin, je voyais dun autre il la « grosse Vidal ». Elle était plantée là, derrière son comptoir, bras croisés sous sa grosse et opulente poitrine à attendre le client. Toujours aussi revêche, elle ne parlait pas, se contentant de lever la tête pour me saluer et pour me demander ce que je voulais.
- Deux baguettes et trois croissants sil vous plait, Madame.
La boulangère me servait, je la remerciais, elle bougonnait. En sortant de son commerce, je me disais « Alex, arrête, arrête de te faire des films, non la mère Vidal nest pas ce que tu imagines ! » Je venais de me figurer quelle était une femme dominatrice. Allais-je voir désormais des Dominateurs et des soumis de partout, à tout bout de champ ? De retour à la Bastide, je croisais Louise et Charles, sous le tilleul, préparant leur petit déjeuner. Je stoppais mon véhicule et allais à leur rencontre.
- Tenez, je vous ai pris du pain et des croissants pour votre petit déjeuner
- Oh que vous êtes gentil, Monsieur Alexandre.
Louise me sautait dans les bras et membrassait tendrement, comme une mère. Mon Dieu que jaimais cette brave femme.
- Vous allez rester avec nous pour le petit déjeuner, je vais vous chercher une tasse de café.
Jacceptais et profitais de loccasion pour dire à Louise et Charles que je mabsenterais ce matin.
- Et où vous allez Monsieur Alexandre ?
- Enfin Charles, Monsieur Alexandre, na pas à te justifier de son emploi du temps !
Charles me faisait un clin dil malicieux tout en murmurant :
- Vous allez retrouver votre douce !
Louise était outrée, elle tapait la table branlante du plat de sa main, renversant ma tasse de café.
- Tu vois Charles, tu vois ce que tu me fais faire, regarde, le short et le teeshirt de Monsieur Alexandre sont tout tâchés
Je profitais de cet incident pour méclipser, laissant derrière moi Charles et Louise se chamailler.
- Vous me laisserez votre linge, je vous le laverai Monsieur Alexandre !, me criait Louise.
A 9 heures 30, je partais
Comme dhabitude, je me garais près de la propriété de Monsieur le Marquis, car une nouvelle fois jétais en avance sur lhoraire prévu. Comme dhabitude à 10 heures moins deux minutes, je me présentais devant le lourd portail.
- Parfaitement à lheure, petite salope, japprécie lexactitude, peut-être te récompenserai-je. Allez, on file, direction Lyon !
- Bonjour Maitre.
Le Noble ne me répondait pas, je reculais, passais le portail et roulais vers la direction indiquée. Même si je me questionnais, je minterdisais de Lui demander une quelconque information. Il y avait un silence de plomb dans la voiture. Monsieur le Marquis se contentait dadresser un grand nombre de textos. LorsquIl eut rangé Son téléphone dans Sa poche de costume, je me risquais :
- Mautoriseriez-Vous à Vous parler, Maître ?
- Je técoute.
- Maître, je sais pour mes parents.
- Tu sais quoi ?, me répondait-il sévèrement.
- Je sais que mon père et ma mère vous connaissaient.
- Et alors ?, me disait-il sèchement.
- Je sais quils ont fréquenté tous deux Votre Château.
- Qui ta dit ça, Charles ? Louise ? Qui ?
Je sentais un brin dagacement.
- Oh non Maître, Charles et Louise nont rien voulu me dire
- Jen déduis que tu as donc cherché à savoir
- Cest vrai Maître, jai surtout cherché à comprendre pourquoi jétais ainsi fait.
- Qui ta dit, pour tes parents.
- Cest Frédéric, mon oncle, le frère de mon père, Maitre
- Ah ce beau parleur qui saffiche devant les écrans de télévision de la France entière, dès lors quil a fait acquitter un truand
Ça ne métonne pas de lui. Un avocat qui plaide pour son égo !
La conversation en restait là. Je voyais Monsieur le Marquis soucieux. Avais-je bien fait de lui parler de ça maintenant ? Il ne me décrochait plus un mot, jusquau moment où nous eûmes passé le tunnel de Fourvière.
- Tu prends direction Bellecour, nous irons nous garer au parking souterrain, sous cette place.
- Bien Maître.
Une fois la voiture garée, et avant den descendre, le Maître me disait.
- Maintenant tu me suis, un pas derrière le mien, sans un mot, suis-je clair ?
- Très clair Maître.
Dun bon pas, nous traversions cette belle place lyonnaise, puis regagnions une rue adjacente à celle-ci. A quelques centaines de mètres dans langle dune rue, le Noble sarrêtait et appuyait sur un interphone dun cossu immeuble. La lourde porte souvrait sitôt après. A peine avais-je eu le temps de lire : Docteur Duernois, médecine générale. Pourquoi memmenait-Il voir un médecin ? Mon rythme cardiaque brusquement augmentait
Comment allais-je réagir si ledit médecin me demandait de défaire mon pantalon, alors que jétais nu dessous et que surtout je portais cette cage de chasteté ? Au premier étage, comme indiquée sur la porte, Monsieur le Marquis sonnait et entrait. Evidemment je le suivais. Là sur notre gauche, derrière un petit guichet, une femme, une très belle femme travaillait sur un écran dordinateur. Elle ne levait pas la tête immédiatement. Le Maitre se campait devant elle. Elle redressait son visage, blêmissait puis se levait immédiatement et se mettait à genoux sur la moquette, baissant la tête et balbutiait :
- Bon
bonjour Mai
. Bonjour Monsieur le Marquis !
- Bonjour Anita, on a rendez-vous à 11 heures 30
- Le Docteur Duernois a pris un peu de retard dans ses rendez-vous, je vais devoir vous faire patienter Monsieur le Marquis, tenez, suivez-moi je vous prie, si vous mautorisez à me lever...
Suite à un rapide geste de la main du Châtelain, la secrétaire soumise se leva et nous conduisait dans la salle dattente, il y avait encore un couple, soit deux personnes assises qui étaient là. Le Noble sinstallait sur une chaise et dun claquement de doigt me faisait me mettre à côté de lui.
- Reste ici à côté de moi, debout.
Je sentais le rouge me monter aux joues, je baissais la tête, non pas pour être le soumis que je devais être, mais pour ne pas voir ce couple de patients qui me regardaient dun il interrogatif sinon stupéfait. Monsieur le Marquis, Lui ne semblait nullement gêné, alors que moi
à cet instant, je me serais bien mis dans un trou de souris !
- Bonjour Edouard, jai bientôt terminé, désolé de ce retard, vous êtes les derniers de mes patients ce matin, je reçois ce Monsieur et sa dame et après je suis à toi !
- Je ten prie Maxime, fait, jai tout mon temps.
- Je tenvoie Anita, si tu veux regarder ce dont je tai parlé au téléphone.
- Bien volontiers.
Anita arrivait immédiatement, elle se mettait instantanément à genoux, face à terre devant le Noble et lui baisait les deux pieds.
- Redresse-toi salope, relève ta blouse blanche et montre-moi ta chatte, jai ouïe dire que celle-ci était fraichement annelée !
La jeune femme sans hésitation, tenait très haut sa jupe, elle ne portait pas de culotte. Elle écartait les jambes le plus possible et se laissait examiner, par un doigt inquisiteur du Maitre.
- Mais cest magnifique, cinq anneaux, quatre sur tes lèvres intimes et un au travers de ton petit clito. Tu dois te sentir une vraie chienne, désormais !
La jeune femme sursautait, lorsque le noble Doigt senfonçait en elle et faisait de va-et-vient des plus invasifs.
- Pardonnez-moi Monsieur le Marquis, jai ces anneaux depuis avant-hier seulement et mes chairs sont encore très sensibles.
- Je comprends, ta bouche lest-elle ?
- Non Monsieur le Marquis.
- Alors à quatre pattes, vite, et suce-moi, la pute.
Javais compris dès la rencontre avec cette Anita en entrant que jétais dans un cabinet médical un peu particulier où la Domination avait toute sa place. Jappréhendais et minquiétais pour la suite. Est-ce que le Maître allait me faire poser des piercings sur ma nouille ? Je redoutais terriblement cet instant !... La jeune Anita uvrait, semblait se délecter de ce membre dru et puissant quelle avait en bouche et quelle avalait ou quelle titillait du bout de sa langue. Jéprouvais subitement et honteusement un sentiment de jalousie, combien jaurais aimé être à la place de cette jeune et belle Anita. Elle ne bronchait, même pas lorsque le Noble lui ouvrir sa blouse blanche sur le devant et laissait apparaitre une poitrine généreuse où elle avait déjà les tétons annelés
Elle ne bronchait pas non plus quand la porte de la salle dattente souvrait de nouveau au bout dune quinzaine de minutes, elle restait concentrée sur ses activités sans craindre dêtre vue. Le médecin la regardait, saccroupissait derrière elle, lui écartait les fesses puis minterpellait.
- Viens ici, chien soumis, viens donner quelques coups de langue sur ce petit trou pour que je puisse la doigter sans trop de difficulté.
Je ne bougeais pas, pas parce que terrorisé, mais parce que je nobéissais quau Maitre.
- Va, salope, va glisser ta langue dans le cul de cette chienne !, rajoutait le Châtelain
A quatre pattes derrière Anita, avec un dégoût certain, je passais ma langue sur ce trou, le médecin me tenait la nuque pour que je menfonce en elle, chose quil métait bien difficile à faire, non pas parce que ce trou était trop serré, bien au contraire, mais parce quAnita était une femme. Dieu merci, le Maître râlait, jouissait, envoyant plusieurs jets de sperme au fond de la gorge de cette soumise au moment où je léchais tout de même avidement, par obéissance. Anita se délectait de la noble Semence, nettoyait le Joyaux du Maître et remerciait Monsieur le Marquis en se prosternant humblement devant Lui. Puis nous entrâmes dans le cabinet du docteur. On exigea de suite de me dévêtir
(A suivre
)
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